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Foto del escritorThe Beauty Project Tbp

Teenagers and their relationship with beauty...


La beauté, vaste sujet (et notre préféré), peut générer- si l´on s´en réfère à

l´apparence physique - une certaine angoisse pour bon nombre d´entre nous. Mais si en plus, on l´associe à l´époque de l’adolescence, alors là ça se corse carrément !

Retour sur… ma vie d´ado. Belle crise oblige, j´étais plutôt du genre à laisser des traces et à tout chambouler sur mon passage😉. Ma chère maman s´en souvient encore! Piercing sur la langue, tresses rouges, échappées nocturnes, petit copain rock & roll…on peut dire que

j´ai vécu cette époque mouvementée et tourmentée à 200 à l´heure. Mais quand je regarde en arrière, je pense qu´elle fut totalement nécessaire ou en tout cas très intéressante d´un point de vue introspectif.

A mon époque (OMG je parle comme une vieille), il n´y avait pas snap chat, instagram et smartphone pour rajouter une couche à

l´obsession du fameux « How do I look? ». Mais pourtant, ça ne nous empêchait pas d´avoir du mal à nous accepter et à se prendre la tête (et aux connards en manque d´assurance avec leurs commentaires castrateurs de déjà exister)!

Mon attirance pour le monde de la beauté et des cosmétiques commence bien avant mon adolescence. Déjà petite, mon intérêt pour l´esthétique se laissait entrevoir: je posais pour les photos de famille, me faisais des masques et gommages avec les fruits et légumes de la cuisine,(oui oui, fruits ET légumes) et me créais la vie d´une autre (à travers des personnages de la danse, du théâtre…). Mais souvent (et un peu encore aujourd´hui), je me laissais trop influencée et découragée par mes détracteurs. Au lieu de m´aimer telle que

j´étais et de profiter du chemin comme on dit souvent.

Car un ado (et c´est bien normal) se préoccupe beaucoup de son apparence : sa peau, son poids, ses cheveux, et j´en passe et des meilleurs ! D´ailleurs, être ado aujourd´hui me semble encore plus difficile qu´avant. La force des réseaux sociaux, les campagnes de publicités qui continuent à montrer une réalité qui n´est pas la leur...ne fait qu´augmenter la pression exercée sur ces jeunes personnes, sur cet idéal qu´on leur propose vouloir atteindre.

On continue à être dans le diktat de la beauté, au lieu d´être dans l´acceptation de soi.

À un âge délicat mais aussi charnière dans l´estime de soi, ne devrait-on pas promouvoir la quête de l´amour propre, de cette beauté intérieure plutôt qu´apparente, au lieu d´images édulcorées aux sourires « Colgate » et à la peau parfaite, avec des ados riant à gorge déployée et respirant le bonheur et la réalisation de soi?

Même si, quelques années plus tard, force sera de constater que ces cheveux frisés que

l´on s´efforçait de lisser coûte que coûte sont une magnifique parure. Aujourd´hui, on use et abuse de différentes techniques et produits pour avoir ses boucles et autres effets « wavy ». Que ces lèvres charnues dont les garçons se moquaient sont si belles et féminines. Combien de femmes paieraient (et paient) pour avoir le même sourire ?!

Alors, si tu pouvais faire un retour dans le passé et être face à lui, qu´est-ce que tu lui dirais à ton « moi » ado ?

Et bien, je trouve que les 3 P de Martin Seligman (remasterisés) résument parfaitement ce que je lui dirais:

- Ne prend pas personnellement les commentaires des autres : ils ne sont que la projection sur toi de leur propre manque d´assurance et leurs complexes.

- Essaie de t´éloigner et de ne pas te laisser envahir par les commentaires malveillants (plus facile à dire qu´à faire je te l´accorde).

- Rien ne dure : et même si ça te semble le pire moment de ta vie, tout passe et tu en sortiras plus fort et plus confiant!

La beauté doit être bienveillante et non pas source d´angoisse, de course à la perfection et

d´exclusion.

OUI à des ados heureux et bien dans leurs baskets, OUI à la beauté positive, OUI à la beauté inclusive !


La belleza, tema amplio (y nuestro favorito), puede generar- si de la apariencia física se tratase- cierta ansiedad para muchos de nosotros. Pero si además, lo juntamos a la época de la adolescencia entonces se complica la cosa...

Volvemos a… mi vida de adolescente. Buena crisis como Dios manda, era más de dejar huella y dejarlo todo patas arriba. Mi pobre madre se acuerda todavía de esa ¡bendita época! Piercing en la lengua, trenzas rojas, escapadas nocturnas, noviete quinqui...desde luego viví esa época al 200% . Pero cuando echo la vista atrás, creo que era totalmente necesario y muy interesante desde el punto de vista introspectivo.

En mi época (ya estamos, hablo como una señora), instagram, snapchat, los smartphones...no existían aún para sumar más presión a esa obsesión del "¿ qué tal me ves?". Pero no impedía que te cueste aceptarte y comerte el coco (y a los gilipollas inseguros con sus comentarios destructores de existir).

Mi atracción por el mundo de la belleza y de los cosméticos empieza mucho antes de mi adolescencia. De pequeña, mi interés para la estética ya se dejaba entrever: posaba para las fotos de familia (sí, un poco cursi también), me hacía mis mascarillas y exfoliantes con frutas y verduras de la cocina y me creaba una vida paralela (a través de mis personajes de baile, de teatro...). Pero a menudo (y todavía demasiado), me dejaba influenciar y desanimar por mis detractores. En vez de aceptarme tal y como era, disfrutando mientras del camino, como se suele decir.

Porque un adolescente (y es totalmente normal) se preocupa mucho por su apariencia : su piel, su pelo, su peso y otras mil historias! De hecho, creo que ser adolescente hoy en día no es tarea fácil. La fuerza de las redes sociales junto a campañas de publicidad que siguen enseñando una realidad que no es la suya...sólo incrementa esa presión ejercitada sobre esos jóvenes, sobre ese ideal que les proponemos alcanzar.

Seguimos en ese diktat de la belleza en vez de la aceptación de uno mismo.

En una edad complicada pero también clave en la autoestima, ¿no sería más conveniente promover la búsqueda del amor propio, de esa belleza interior en vez de machacarles con imágenes vestidas de sonrisa « Colgate » y pieles perfectas, con adolescentes riéndose a carcajadas , respirando la felicidad y la auto realización?

Aunque años después, nos daremos cuenta que ese pelo rizado que queríamos alisar a toda costa es maravilloso y es nuestro sello de identidad. De hecho, cuantas técnicas y productos existen para conseguir esa "onda" y esos rizos elásticos? Esos labios carnosos y voluminosos que eran la risa de los chicos del cole...¡¿cuántas mujeres pagaría (y pagan de hecho) para tener la misma sonrisa?!

Así que, si pudieses volver atrás y estar cara a cara con tu "yo " adolescente, ¿qué le dirías?

Pues resulta que he encontrado en los 3 P de Martin Seligman (remasterizados) la mejor forma de resumirlo:

- No tomes personalmente los comentarios de los demás: son únicamente la proyección de sus propias inseguridades y complejos hacia tí .

- Intenta alejarte y no dejarte sumergir por comentarios negativos (más fácil decir que hacer).

- Nada dura para siempre : y aunque te parezca ser el peor momento de tu vida, todo pasa y saldrás más fuerte y más seguro!

La belleza tiene que ser generosa, indulgente y no dar ansiedad y ser una carrera hacia la perfección y ser excluyente.

¡SÍ a unos adolescentes felices, SÍ a la belleza positiva, SÍ a la belleza inclusiva !

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